Accueil  

   La traversée du Sahara en 4L

Dossier Sahara
France-Tunisie

 

 

Notre projet

 

En résumé

Pauline & Jacques

Un tour du monde

En Tandem

A partager

 

Nos moyens

 

Le budget

Le Matériel

Santé

Visas

Nous aider

Les partenaires

 

Écrivez nous

 

Livre d'Or

Contacts

 

Suivez nous

 

Livre de bord

 

De Toulouse à la Tunisie

Logo sur les 4L / Logo on Renault 4Le logo de l'expédition peint sur les portes des voitures

Carte général / Main map

Trajet global :

France, Tunisie, Algérie, Niger, Burkina, Mali, Sénégal

Suite à la  réouverture de la frontière Maroc – Mauritanie en 1997, nous étions partis à six au volant de trois R4 sur la route de Toulouse à Dakar. La découverte du Sahara Mauritanien ne nous suffira pas. Nous repartirons trois ans après pour une nouvelle aventure Saharienne d’une durée de trois mois. Les 4l sont achetées et préparées à Toulouse et, à six, nous nous lançons dans l’aventure  le 10 Novembre 2000 pour 12000 Km à travers la Tunisie, l’Algérie, le Niger, le Burkina-Fasso le Mali et le SénégalLa première 4L s’appelle Mama et contiendra l’intendance et le matériel de camping, la deuxième, Samu, contiendra les médicaments, la trousse de secours et les réserves d’eau. Enfin, la troisième, Casse, servira au stockage des pièces détachées et outils. Chaque voiture possède trois roues de secours, deux tôles de désensablement, une pelle et un équipage très motivé. Nous avouons n’avoir pas toujours respecté cette organisation !

L’équipe sur la plus haute dune de Temet, dans le Ténéré : de gauche à droite : Pauline Delgorgue (23 ans, en fin d’études en DESS de Juriste international à Toulouse) , Caroline Becker (24 ans, Fin d’études à l’IAE de Rennes), Jacques Delgorgue (24 ans, Ingénieur Généraliste), Guillaume Berne (27 ans, Etudes de commerce) et Stéphanie Berne (23 ans, Psychomotricienne)  en Normandie), Frédéric Daguin (24 ans, Ingénieur Généraliste).  

Nous quittons l’Europe depuis Gênes en Italie. Dans la cale de nombreux 4*4 Allemands ou Italiens côtoient nos petites R4. Nous profitons de la traversée pour échanger les points GPS de pistes qui nous intéressent. Après deux jours de ferry, l’excitation est au comble  à la vue de la côte Africaine. Le coucher de soleil inonde le port et la ville de Tunis. Les formalités  de débarquement sont rapides. Nous souhaitons rester quelques jours afin de continuer la préparation des voitures sur Tunis, ce sera aussi l’occasion de se plonger dans la culture Nord Africaine. L’animation du grand souk de Tunis nous rappelle le Maroc. Les odeurs, les couleurs et le son de l’appel à la prière des mosquées nous dépaysent rapidement. Nous ne résisterons pas longtemps à l’odeur des narguilés en se promenant dans les petites rues sinueuses bleues et blanches de Sidi-Bou-Saïd, petit village sur la côte Méditerranéenne  au Nord de Tunis.

Une fois les 4l rehaussées nous rejoignons rapidement la ville de Tozeur, au centre de la Tunisie. Nous voulons tester notre capacité de franchissement sur les pistes du sud Tunisien avant de se lancer sur les longues pistes qui nous attendent en Algérie et au Niger. Nous commencerons par la traversée du grand lac salé asséché, le Chott El Jerid, de Tozeur à Douz. Le paysage, plat, s’étend à perte de vue. Par moment nous nous éloignons de la route principale, en hauteur par rapport au lac, pour rouler dans le fond du lac asséché. La joie d’être seuls et de rouler sans aucun obstacle est immense. Nous faisons danser nos 4L sur le sol rendu glissant par la couche de sel craquelée avant de rejoindre la route principale.  

De Douz, nous prenons la piste de tôle ondulée pour rejoindre le village englouti de Zaafrane puis les dunes de ksar Ghilane. La tôle ondulée est très mauvaise et met nos voitures à rude épreuve : trois amortisseurs se détachent sous l’effet des vibrations. Après nos premières heures de bricolage et une nuit au bord de la mer de dunes de Ksar Ghilane nous prenons la piste sableuse pour Tataouine.

Premiers ensablements

Nous nous ensablons souvent sur cette première piste difficile. Les désensablements sont éprouvants. Nous nous rendons compte de l’importance de l’eau, de l’essence et des choix d’orientation. Nos cartes ne sont pas assez précises et ne permettent pas d’effectuer des relevés précis pour l’utilisation de notre GPS. La frontière du sud de la Tunisie avec l’Algérie n’étant pas ouverte, nous repartons à Tozeur pour terminer la préparation des véhicules avant d’entrer en Algérie par Nefta., la frontière avec l’Algérie la plus au Sud.

Suivant >>>>

Sahara 1/5

Stéphanie et Guillaume

France-Tunisie

Algérie

Niger

Burk.-Mali-Sén.

Conseils